Carne l’appelez plus James Bond. Dans « Mourir peut attendre » qui sort le 31 mars, Daniel Craig restera Bond mais sera remplacé en tant qu’agent 007 par une femme noire -

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Mourir peut attendre », de Cary Joji Fukunaga, Grande-Bretagne- États-Unis, 2 h 43. Plus d'articles sur les sujets qui vous intéressent : cinéma james bond
Publié le mardi 12 octobre 2021 à 07h45 "Du grand n'importe quoi", "une mise en scène pataude", "un des pires 007", "d'un politiquement correct absolu à consommer avec modération"… Dans ce 5e et dernier film de la série des James Bond incarné par Daniel Craig, l'espion au service de sa majesté a essuyé de sévères critiques de la part du Masque & la Plume ! Le film présenté par Jérôme GarcinLa 25e adaptation de James Bond, le personnage inventé par Ian Fleming. La dernière avec le sixième titulaire du rôle de 007, l'espion de Sa Majesté Daniel Craig. Un film de 2h45 où notre agent secret croit être rangé des voitures et pouvoir se reposer à la Jamaïque cinq ans après avoir coulé à Materas, dans les Pouilles, avec Madeleine Swann, Léa Seydoux. Mais voici que son ami de la CIA, Félix Leiter, l'appelle à l'aide pour libérer un scientifique qui vient d'être kidnappé par le SPECTRE, avec une nouvelle recrue incarnée par Lashana Lynch et affublée du même va affronter Rami Malek dans le rôle du méchant, d'ailleurs surnommé Lucifer, patron d'un labo high tech situé sur une île déserte où se prépare une terrible arme bactériologique. Le seul problème, c'est que - pour moi - il n'a absolument rien de film passe par Cuba, la Norvège, l'Italie, la Jamaïque, Londres, et la musique est signée Hans Zimmer, avec en prime, une chanson de Billie Eilish. Un film très long et très crépusculaire. Daniel Craig ressemble de plus en plus à Poutine. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt. Pour Sophie Avon, "ils ont tellement voulu en faire que, à l'arrivée, c'est du grand n'importe quoi"À vouloir trop intégrer les enjeux et les attentes de l'époque, le film est pour Sophie une suite d'incohérences qui ne donnent pas envie au spectateur de croire aux personnages. SA "Je n'ai pas trouvé ça forcément très déplaisant, mais il y a beaucoup de choses qui me gênent. La dimension ludique du film me paraît avoir complètement disparue. Daniel Craig n'est pas un joyeux de nature depuis le début, mais là, il est particulièrement sinistre. Un aspect fourre-tout. On insère vraiment le plus de choses possibles… On remplit la barque avec de tout pour satisfaire tous les publics. Il y a des bonnes et belles scènes d'action, c'est graphique et de ce point de vue-là, c'est maîtrisé. Mais les scénaristes transforment presque les personnages en marionnettes. Je n'ai rien contre le fait que notre ami James Bond tombe amoureux, mais à condition que le couple qu'il forme avec Léa Seydoux soit un peu crédible ! Ce couple, je n'y crois pas du tout et j'ai le sentiment que les scénaristes non plus. On a l'impression que la production a ployé le film pour essayer de répondre aux injonctions, aux attentes de l'époque, pour essayer d'aller contre les stéréotypes de personnages. Mais si c'est pour faire un peu n'importe quoi et rendre les choses contradictoires et sans ambivalence, pour répondre à un marketing et cocher les cases, eh bien à un moment on a besoin quand même de se raccrocher à quelque chose d'un peu cohérent ! Le film met de tout et perd sa cohérence. L'acteur Daniel Craig dans "Mourir peut attendre" de Cary Joji Fukunaga 2021 Xavier Leherpeur le compare aux James Bond de Roger Moore… Soit le pire de la série selon "Casino Royale" et "Skyfall" qui étaient ses deux meilleurs de la série, ce final de la série Daniel Craig est une vraie déception aux yeux de Xavier Leherpeur, qui déplore la persistance de certains codes anciens qui survivent encore à James Bond. XL "Concernant tous les éventuels spoiler, tout avait été filtré sur Internet depuis deux ans. On savait tout depuis le début, avant même de voir le film. Ils brassent beaucoup de choses et sont même allés chercher de vieilles figures ancestrales et archétypales de James Bond… Le film se termine par la chanson de John Barry, "We Have All the Time in the World" chantée par Louis Armstrong. Soit la bande originale du film "Au service secret de sa majesté" 1969 comme pour faire référence à ce James Bond incarné à l'époque par George Lazenby qui tombait amoureux de l'actrice Diana Rigg, dont le personnage est ensuite assassiné au cours du film. La mise en scène est pataude avec des problèmes d'amorce dans la plupart des scènes d'action qui ne font que les ralentir. Pourquoi aller chercher ce savant russe, dont l'accent est tellement daté… Puis cette nouvelle James Bond Girl… Je ne parle pas de la nouvelle 007 Lashana Lynch, qui cumule vraiment tout le politiquement correct, mais du personnage incarné par Ana de Armas qui, dès qu'elle voit James Bond et pourtant il ne reste pas grand chose de Daniel Craig… fait tout tomber ! Elle a droit à une scène sublime dans le bar, mais si vous allez faire pipi, vous revenez dans le film sans plus jamais la voir après. Daniel Craig, dont j'aimais le détachement par rapport au personnage de James Bond… Là, il ne se baisse même pas pendant les scènes de fusillade ! Heureusement, il a face à lui des bras cassés qui tirent dans tous les sens, quand lui ne tire qu'une balle et tue dix personnes. Il y a un moment, on se demande si ce n'est pas comme à l'époque des Roger Moore, soit les pires films, ceux auxquels on ne croyait absolument rien car il y a une indifférence similaire au personnage qui n'est plus intéressante du tout. " L'actrice Léa Seydoux dans "Mourir peut attendre" de Cary Joji Fukunaga 2021 Éric Neuhoff regrette "un James Bond trop politiquement correct, à consommer avec modération"Pour le critique, James Bond a disparu il y a bien longtemps EN "Le temps de ce film c'est bien le premier problème. Ensuite, ils sont quatre ou cinq scénaristes à s'être mis sur le coup, ce qui sent déjà très mauvais… S'il y a toujours quand même la séquence de présentation où on entend le "Bond… James Bond", s'il trempe encore vaguement ses lèvres dans la vodka martini, ils ont effacé toutes les aspérités de James Bond, devenu d'un politiquement correct absolu. Il rencontre la fameuse cubaine, qui est belle à se damner, mais alors là, il ne se passe rien du tout. Pas question qu'il l'approche. Heureusement, on retrouve quand même l'Aston Martin grise métallisée. Celle des débuts, fabuleuse. Mais, encore, je suis sûr qu'ils en ont fait une bagnole hybride pour être là aussi dans l'air du temps ! Mais, sinon, c'est comme le film, c'est à consommer avec modération. C'est un garçon devenu très sage… C'est un film où on regarde sa montre… Je pense que, la prochaine fois, Daniel Craig sera remplacé par Sandrine Rousseau Pierre Murat, contrarié d'être le seul à avoir aimé et salue "un James Bond romanesque"Seul contre toutes et tous, le critique a eu la malchance de s'exprimer le dernier, et le courage de sauver à lui seul ce qui pouvait encore l'être PM C'est d'une telle mauvaise foi… Vous détestez James Bond, c'est votre droit ! Je reconnais que c'est long mais je m'emmerde beaucoup moins dans ce James Bond qu'avec "Dune"… Je crois que le grand problème du film, c'est ce que les scénaristes ont fait du personnage de Léa Seydoux qui est là justement pour embourgeoiser James Bond. On a droit à un premier fantasme, un souvenir qui n'est pas intéressant. C'est quand ils s'éloignent que le film commence, avec l'épisode de Cuba formidablement fait, filmé et monté. Le personnage de Ana de Armas est très intéressant parce que, justement, elle amène cette fantaisie qui manque à Léa Seydoux. On retrouve là tout l'intérêt de James Bond. Il est évident que ce qu'ils ont voulu faire, c'est un James Bond romanesque et romantique. L'actrice Léa Seydoux et l'acteur Daniel Craig dans "Mourir peut attendre" 2021 Le film🎧 Écoutez l'ensemble des critiques échangées à propos de ce film sur le plateau du Masque et la Plume "Mourir peut attendre" de Cary Joji Fukunaga 10 min France Inter ► Toutes les autres critiques de films du Masque et la Plume sont à retrouver ici Vous trouvez cet article intéressant ? Faites-le savoir et partagez-le.
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JournéeCinéma au Soler : « Les CROODS 2, une nouvelle ère » à 14h30 et « JAMES BOND : MOURIR PEUT ATTENDRE » à 20h, le mercredi 27 octobre 2021 à l'Espace F. CALVET. L'association "Culture en Têt" en collaboration avec Michel LAPORTA, vous propose une journée cinéma à l'occasion de la période des vacances de Toussaint, le Mercredi 27 Octobre 2021 à
Publié le 4 décembre 2019 à 15h45Source Sujet TF1 InfoMY NAME IS BOND - L'excitation a grimpé d'un cran, mercredi 4 décembre, avec la publication par Universal Pictures des premières images du prochain film consacré à l'agent 007. L'occasion de découvrir en action Rami Malek dans son rôle d'antagoniste et surtout de confirmer les théories autour du personnage joué par Lashana avait été donné mercredi 4 décembre en début d'après-midi. Réglé comme un coucou suisse, le plus célèbre des agents britanniques n'a pas fait davantage patienter ses admirateurs. James Bond revient d'entre les morts, plus énervé et suspicieux que jamais, dans la première bande-annonce de "Mourir peut attendre". Le long-métrage réalisé par l'Américain Cary Fukunaga - une première - sera le cinquième et dernier pour Daniel Craig dans le costume de 007. Le Britannique s'offrira-t-il un au revoir plein de panache ? C'est ce que laissent présager les images dévoilées par Universal Pictures. Deux minutes 35 secondes de pure adrénaline qui n'augurent rien de bon pour l'espion le retrouve d'abord en pleine course-poursuite, très remonté contre sa compagne Madeleine Swann Léa Seydoux qu'il accuse de trahison. "Nous avons tous nos secrets. Nous ne sommes juste pas encore arrivés aux tiens", lui lance-t-il. Ambiance... Sorti de sa retraite en Jamaïque par son vieux copain de la CIA Felix Leiter Jeffrey Wright pour l'aider à retrouver un scientifique disparu, Bond fait la connaissance d'une nouvelle agente 00 interprétée par Lashana Lynch. De quoi confirmer les premières rumeurs qui affirmaient que le légendaire matricule du MI6 échoirait à une femme dans "Mourir peut attendre". Rami Malek, méchant masqué et défiguréLa friction entre les deux est palpable. "Restez à votre place. Si vous vous mettez sur ma route, je vous planterai une balle dans le genou. Celui qui fonctionne", lâche Nomi à Bond. Annoncé par la presse britannique qui l'avait aperçu sur le tournage, Christoph Waltz reprend le rôle de Blofeld qu'il tenait dans "Spectre" et fait une courte apparition dans la bande-annonce. Suffisamment intrigante pour attirer notre attention. Lui aussi évoque les secrets de Madeleine Swann qui devraient donc être au coeur d'une histoire sans doute plus complexe qu'elle n'en a l' aussiLe scénario, retravaillé par Phoebe Waller-Bridge "Fleabag", "Killing Eve", devrait faire la part belle à Safin, le méchant incarné par Rami Malek "Bohemian Rhapsody" qui semble bien informé sur James Bond. Il se dévoile pour la première fois à moitié défiguré, le visage protégé par un masque blanc. De Paloma, jouée par Ana de Armas "Blade Runner 2049", "A Couteaux tirés", on ne sait en revanche rien si ce n'est qu'elle manie très bien les armes à feux en robe de soirée. Dommage... Sortie en salles prévue le 8 avril DE FREITASSur lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités jamesbond : mourir peut attendre (no time to die) - masque brise de safin officiel limited edition prop replica (safin mask fragmented version - factory entertainment - sideshow) 539,99 € (-7,41%) 499,99 € en stock: plus d'infos Mourir peut attendre le prochain James Bond de nouveau décalé22 janv. 2021 à 1000 Chef de rubrique Cinéma - Fan de cinéma fantastique, de thrillers, et d’animation, elle rejoint la rédaction d’AlloCiné en 2007. Elle navigue depuis entre écriture d'articles, rencontres passionnantes et couvertures de festivals. Mourir peut attendre, le prochain film de la franchise James Bond vient à nouveau d'être décalé. Annoncé au 31 mars en France, le film porté par Daniel Craig devrait finalement sortir début octobre 2021. Les rumeurs circulaient depuis plusieurs jours sur la toile, c'est désormais confirmé Mourir peut attendre ne sortira pas comme prévu le 31 mars. Le film de Cary Joji Fukunaga est maintenant annoncé au mois d'octobre le 8 aux Etats-Unis. A la place des nouvelles aventures de l'agent 007, Universal proposera le film d'action Nobody porté par un Bob Odenkirk méconnaissable. Censé sortir le 26 février aux Etats-Unis, le long-métrage est désormais prévu pour le 2 avril. Le décalage de James Bond n'est pas sans conséquences sur le reste des sorties cinéma puisqu'il oblige Sony à déplacer Morbius, le film fantastique consacré à l'ennemi de Spider-Man, au mois de janvier 2022. Porté par Jared Leto, le long-métrage a pourtant été le premier film à voir sa date de sortie changer, passant du 17 mars à octobre. Une nouvelle vague de reports de films est à prévoir... Partager cet article Morbius repoussé vers une nouvelle vague de reports de dates de sortie ? 21 films attendus en 2021 Kaamelott, Fast and Furious 9, Mission Impossible 7...
Alorsque notre Daniel Craig adoré reviendra dans la peau de James Bond dans "Mourir peut attendre" le 11 novembre prochain au cinéma, les fans de 007 pourront patienter en compagnie de Roger Moore lors d'une soirée spéciale. Le domaine de Chantilly organise une soirée cinéma en plein air dans le parc du château le samedi 12 septembre. Port du masque obligatoire pendant
Sur le mur du cinéma Darcy, fermé depuis cet été, l’affiche du dernier 007 fait pâle figure. C’est d’ailleurs le visage sardonique de Rami Malek, qui incarne le personnage déroutant et terrifiant de Safin, que nous retrouvons sur la façade d’un lieu, où personne n’a semble-t-il souhaité se confiner MOURIR PEUT ATTENDRE semble prévenir le méchant de James Bond, en police stencil de couleur blanche sur fond peanut ». Sean Connery, lui, n’a pas été de cet avis, sans doute lassé par les incessants reports de sortie du vingt-cinquième opus de la franchise Bond. Cary Joji Fukunaga, un des réalisateurs de l’excellente série TRUE DETECTIVE, succède aux commandes à l’exceptionnel Sam Mendès. Et dans ce vingt-cinquième opus james bondien », Daniel Craig incarne pour la cinquième et dernière fois le trouble agent secret. A moins que Craig soit atteint, comme son ainé, du syndrome NEVER SAY NEVER AGAIN, qui verra le retour de Connery dans le costume de l’agent secret, douze ans après l’avoir abandonné à d’autres ? Alors, à défaut de vous chroniquer le dernier James Bond, je vais tenter de rendre un modeste hommage au premier, et réellement seul acteur bondien de la série le piquant Sean Connery, décédé aux Bahamas à l’âge de quatre-vingt-dix ans. Il incarna 7 fois l’agent 007 James, fils de l’écossais Andrew Bond et de la suissesse Monique Delacroix. Fleming accentuera le côté Scottish » de l’agent secret dans ses quatre derniers romans, après avoir apprécié l’interprétation de Sean Connery dans Dr NO. LES HEROS VIEILLISSENT AUSSI Dans l’imposante filmographie de notre séduisant écossais, notons la réédition en dvd et Blu-ray de ROBIN AND MARIAN de Richard Lester 1976, LA ROSE ET LA FLECHE en français, avec l’inoubliable et unique Audrey Hepburn. Le film aborde avec douceur et mélancolie la vieillesse des héros … Une des versions les plus surprenantes de Robin des bois, dans une reconstitution précise et minutieuse du Moyen-âge, épopée romanesque sublimée par la musique de John Barry. Dans les bonus de cette nouvelle édition, vous aurez le plaisir de découvrir une longue interview de Sean Connery datant de 1983, année de la sortie de NEVER SAY NEVER AGAIN, le remake inattendu et non officiel d’OPERATION TONNERRE 1965. Sean Connery revient sur ses débuts, son complexe face à son manque d’éducation traditionnelle, et il répond malicieusement à des questions sur ce dernier James Bond, qui sera également pour lui son dernier. Il réaffirme son désir d’échapper à l’image de l’agent 007, en acceptant des rôles tels que celui du Robin des Bois de Lester. Mais comme il serait hors de question de nous contenter de ce seul ROBIN AND MARIAN, voici une filmographie subjective hors 007 de dix films qui ont marqué la carrière de Sean Connery et évidemment nos souvenirs de spectateurs. FILMOGRAPHIE SUBJECTIVE ET INSPIREE Pas de printemps pour Marnie 1964 la virilité du grand Sean et sa quête pour protéger sa femme Tippi Hedren fascina Alfred Hitchcock dans ce film pessimiste et violent. Le cinéaste en oublie sa réputation de maître du suspense … La Colline des hommes perdus 1965 après Les sentiers de la gloire de Kubrick, Sidney Lumet s’attaque lui aussi à l’armée, dans un camp disciplinaire anglais en plein désert libyen, avec au milieu une colline que les soldats sont contraints d’escalader. Sean Connery était donné gagnant à Cannes pour ce film féroce, il fut battu par Terence Stamp dans L’Obsédé. Shalako 1968 un western cruel et violent signé Edward Dmytryk, pour le plaisir de retrouver Sean Connery dans le rôle titre aux côtés de notre » nationale ! Zardoz 1973 2293, la terre est en ruine, les Brutes et les Exterminateurs travaillent pour une communauté ayant découvert le secret de l’immortalité. Une réflexion splendide et philosophique, élaborée par John Boorman, avec la mystérieuse Charlotte Rampling. L'Homme qui voulut être roi 1975 film d’aventures palpitant et épopée tragique adaptée de Rudyard Kipling. Sean Connery et Michael Caine sont prodigieux, la mise en scène de John Huston admirable. Un chef-d’œuvre. La Rose et la Flèche 1976 de Richard Lester une suite mélancolique de Robin des Bois et une réflexion sur la vieillesse de nos héros. Le Nom de la rose 1986 film à grand spectacle d’une beauté visuelle fracassante du français Jean-Jacques Annaud, adapté d’Umberto Eco, dénonçant non sans humour l’intolérance. La reconstitution historique du quatorzième siècle est très précise et impressionnante. Highlander 1986 brillant film fantastique de Russell Mulcahy, grand maître du clip vidéo, avec Christophe Lambert à son apogée, et la musique de Queen. Encore une histoire d’immortalité pour Sean Connery … décidément ! Les Incorruptibles 1987 après Hitchcock, de Palma. Le maître du split-screen et du split-focus filme en plans-séquences et en plongées l’affrontement d’Eliot Ness et d’Al Capone. La question posée par Sean Connery à la société américaine est la suivante Vous êtes prêt à aller jusqu’où ? ». Un opéra sanglant et maléfique. Indiana Jones et la Dernière Croisade 1989 Sean Connery apporte son humour, son élégance et sa malice aux folles aventures d’Indiana Jones, mises en scène de façon spectaculaire par Steven Spielberg. Intelligent et distrayant. Bonne rétrospective à toutes et à tous, et comme Zardoz, sortez ! Raphaël Moretto

Lorsde la sortie mondiale du nouveau James Bond "Mourir peut attendre" (Never time to die) au Kinépolis de Bruxelles, notre client mystère a eu la chance d'être parmi les privilégiés et de

Publié le 21/08/2021 à 1403 AFP - La première mondiale du prochain volet des aventures de James Bond "No Time To Die" "Mourir peut attendre" aura lieu le 28 septembre à Londres, a annoncé vendredi sur Twitter le compte officiel du film. Le film sortira en salles deux jours plus tard. La première mondiale était initialement programmée le 31 mars 2020 à Londres mais a été plusieurs fois repoussée en raison de la pandémie de coronavirus. Elle est désormais prévue mardi 28 septembre au Royal Albert Hall, prestigieuse salle de spectacle de la capitale britannique qui peut accueillir jusqu'à spectateurs. Les producteurs Michael G. Wilson, Barbara Broccoli et le réalisateur Cary Joji Fukunaga rejoindront sur le tapis rouge Daniel Craig qui incarne le célèbre agent secret britannique. Dans le film, qui devrait être le dernier pour Daniel Craig, James Bond a quitté ses activités au sein des services secrets et profite enfin d'une vie tranquille en Jamaïque. Mais sa quiétude est vite interrompue lorsque son vieil ami de la CIA, Felix Leiter, vient lui demander de l'aide. Le "méchant" de l'histoire est incarné par l'Américain d'origine égyptienne Rami Malek, qui a décroché en 2019 l'Oscar du meilleur acteur pour son interprétation de Freddie Mercury, chanteur emblématique du groupe de rock Queen. Figurent à ses côtés Lashana Lynch, Léa Seydoux, Ana de Armas, Ben Whishaw et Christoph Waltz. Le thème officiel du film, également intitulé "No Time To Die", est interprété par la jeune chanteuse américaine Billie Eilish.
DansMourir peut attendre, les femmes vivent et survivent. Elles ne sont pas du tout touchées lors de combats dont elles maîtrisent parfaitement les règles. Après le générique de début, le dynamitage du tombeau de Vesper Lynd, grand amour de Bond morte à cause de lui dans les deux versions de Casino Royale (1967 et 2006), peut être vu comme l’arrêt
J’attendais ce jour avec impatience l’avant-première du nouveau James Bond, en projection mondiale simultanée. Londres, Paris, Bruxelles, dans cette catégorie, ça fait cheap comme sortie en fanfare. C’est pas encore Podgorica, Vénissieux ou Lamotte-Beuvron, mais sans New-York ni Tokyo dans la liste, ça craint. Est-ce la crise, la crainte des conspirationnistes ? Ceux-là, depuis le COVID, ils n’en ratent pas une ! La dernière ? Et bin le virus serait sorti d’un laboratoire secret caché quelque part en Asie… S’ils avaient su que priver l’humanité toute entière de cinéma pendant deux ans aurait pour conséquence de faire se précipiter la foule vers le nouveau James Bond… Comme si 007 avait du temps à perdre… Ca fait presque 70 ans qu’il se consacre à anéantir le SPECTRE… Pour cette soirée au grand Rex, je m’étais fendu d’un complet veston cravate. Ainsi j’étais comme téléporté à Cannes l’ancien palais des festivals, les grandes années. Je me laissais porter quand tout d’un coup d’un seul, là, hop, un grand black en smoking me braque avec son Iphone. Moi, illico, je dégaine le mien, et on reste là, face à face, un terrifiant duel de volonté et de courage. Le temps se fige… Jusqu’à ce que résonne un bip. C’est bon, passez », qu’il m’dit… Et s’adressant aux suivants préparez vos pass-sanitaires, s’il vous plait »… Brutal, le dégrisement… Sur mon siège, j’ai réajusté mon masque. La lumière baissa, la projection commençait. La consigne était impérative ne rien spoiler ». Heureusement, ce soir là, mon voisin n’a pas respecté la consigne, et m’a raconté ce que je n’avais pas vu, puisque je m’étais endormi… Malgré de spectaculaires trucages, j’ai trompé mon ennui en faisant le décompte des méchants éliminés… Mieux que les moutons pour rejoindre les bras de Morphée… Et il ne lésine pas, le bougre ça tombe comme des mouches ! A se demander comment un tel meurtrier arrive encore à passer pour un héros ? Imaginez-le, coiffé d’un turban… Là, Bond meurt à la fin, mais pas 007. Voilà qu’est dit… Ca fait du bien ! Même s’il est vain d’aller contrer l’objectif des promoteurs accumuler des entrées avant que l’indigence du scénario ne soit connu. Pourtant l’option était séduisante. Dissocier Bond de 007 et conjuguer genre féminin et minorité visible… En fait, rien que de l’esbroufe. Chose étonnante, la combine James Bond » aura servi pour le décès de Bernard Tapie. Ce grand héros de la lutte contre le front national !… Un engagement politique, de 1987 à 1996, qui a réduit le score de Jean-Marie Le Pen aux présidentielles, de 14% en 1988, à 15% en 1995…. Comme le SPECTRE, je vous dis, à chaque épisode le même en pire. Et pendant ce temps, Tapie sauvait l’économie française, en faisant tout péter ses entreprises, achetées un franc symbolique, et envoyer valser le personnel à l’ANPE. Rien que des méchants chômeurs… Et pour couronner tout ça, un seul et même slogan que Tapie nous rabâchait de sa voix de Dark Vador mourir peut attendre. Pathros Narration Mélaka
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